


Saison
1994
En 1994, avec la collaboration de l'ESEM et d'anciens élèves ayant créés
leur propre team (Association de Préparation et de Construction Motonautique),
une cellule de sécurité a vu le jour. Essais en soufflerie, test de résistances,
choix des matériaux, élaboration d'un moule réutilisable, tout fut mis en œuvre
afin de disposer d'une cellule de qualité conforme aux nouvelles normes de
l'Union Internationale Motonautique. Au final, trois cellules ont été fabriquées.
Constituées d'un sandwich carbone/kevlar/mousse à absorption d'énergie, ces
cockpits ont été homologués au niveau international par la commission spéciale
de l'UIM.
Rare équipe étudiante
avec les élèves de l'ESIGELEC de Rouen, l'APESOM possède un palmarès plus
qu'honorable à ce niveau de compétition (vice championne de France d'endurance
en 1993). Notre association forme également tous les ans de nouveaux pilotes,
certains continuant ensuite en S850 ou dans des catégories supérieures. Il est
ainsi fréquent de croiser sur les parc à bateaux d'anciens membres de l'APESOM
présents dans le motonautisme depuis dix ou quinze ans.
Saison 1995 à 1999
En 1995, les casses successives de la coque puis du moteur, ainsi
que l'abandon des prototypes ont provoqués un léger découragement chez les
Esemiens (Eléves inscrit a l'ESEM). Il fallu attendre 1996 pour qu'un petit groupe d'élèves de première
année redonne vie à l'association. Réparant coque et moteur durant deux ans,
la récompense fut la participation, au Havre, à la dernière manche du
championnat de France d'endurance 1998. Malgré un plan d'eau terrifiant pour un
pilote novice, et un manque de fiabilité de notre matériel, l'APESOM se classa
20ème sur 25.

Notre bateau lors de la finale du championnat de France d'endurance (Le Havre
1998)
Encouragés par cette reprise de la compétition, un groupe de nouveaux
élèves est venu renforcer le nombre de nos membres. En Juin 1999, lors des
3heures de Viry-Chatillon, la place de 16ème sur 27 marque une
progression significative de notre équipe. Malheureusement, l'APESOM ne compte
qu'un seul pilote, ce qui est trop peu pour les courses d'endurances.